lien up
lien accueil

Réseau des Nouvelles des Marchés

Bilans de campagne

lien accueil

En cours

requête en cours


RNM
home > Bilans de campagne > derniers bilans Fruits Légumes Fleurs Viandes Archives

Bilans de campagne : dernières parutions

les 4 pages concombre

Le concombre en 2024

Auteur : RNM - Centre d'Angers-Tours

Une campagne globalement satisfaisante malgré une météo qui fait parfois défaut

La configuration du marché du début de la campagne est ordinaire. La production printanière et les actions promotionnelles s’étoffent, mais la météo n’est pas toujours au rendez-vous. La concurrence européenne s’affirme parfois. À l’approche de l’été, avec une offre limitée, les transactions sont plus fluides et les cours se redressent. La campagne se termine sereinement.

les 4 pages melon

Le melon en 2024

Auteur : RNM - Centre d'Angers-Tours

Une nouvelle saison difficile

La météo instable, les pluies persistantes et les températures nocturnes fraîches entraînent un retard des récoltes et des difficultés d’écoulement sur les bassins de production. Les cours sont inférieurs à la moyenne quinquennale pendant presque toute la campagne et basculent en crise conjoncturelle en septembre.

les 4 pages fraise

La fraise de printemps en 2024

Auteur : RNM - Centre d' Agen

Une saison satisfaisante dans l’ensemble

Des températures fraîches et un important déficit d’ensoleillement retardent le début de la saison. À la veille du week-end pascal, le marché s’active, mais les volumes ne sont pas au rendez-vous. Sous l’influence de plusieurs facteurs météorologiques, ils progressent fortement sur la première quinzaine d’avril. Les engagements permettent d’absorber une partie de ce disponible. La tendance s’inverse à partir de la mi-avril avec le retour d’une météo plus hivernale et pluvieuse. Les faibles volumes proposés à la vente donnent l’illusion d’un commerce fluide et raffermissent les cours. La demande est cependant très prudente. En juin, la bonne gestion des variétés remontantes permet une forte progression des volumes et un rattrapage des rendements de la campagne. Les bassins Grand Est et Hauts-de-France ne parviennent cependant pas à compenser l’important manque de production lié aux mauvaises conditions météorologiques. Les cours de cette saison sont d’un niveau supérieur à la moyenne des cinq dernières années et à la campagne précédente.

les 4 pages oignon

L'oignon en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre d'Angers

Une production encourageante mais une fin de saison décevante

Les conditions météorologiques de cette campagne sont favorables à la culture de l’oignon. La récolte est satisfaisante avec des rendements élevés, des oignons de beau calibre et jugés de bonne qualité. La sécheresse ou le manque de disponibilité en eau affecte les rendements dans de nombreux pays européens. La saison, qui débute sur la base des prix soutenus atteints à la fin de la campagne précédente, se présente favorablement. Toutefois, en seconde partie de campagne, le commerce est peu dynamique et la concurrence importante.

les 4 pages clementine_mandarine_detail

Les clémentines et mandarines hors France au stade détail en 2024

Auteur : RNM - Centre de Bordeaux

Chaque semaine, le Réseau des Nouvelles des Marchés réalise une enquête au stade détail dans un panel de 150 magasins représentatifs de la grande distribution française. La clémentine figure parmi les produits enquêtés. En 2024, des informations spécifiques complémentaires ont été relevées dans ce panel* en semaine 06, du 05 au 09/02/2024. Lors de cette enquête, les prix de toutes les références de clémentines et mandarines présentes sur les étalages ont été collectés en fonction du mode de culture, de la variété, de l’origine, des SIQO, du calibre et de l’emballage. Au total, 878 relevés ont été effectués dans 147 magasins.

les 4 pages fraise_detail

La fraise au stade détail en 2024

Auteurs : RNM - Centres d'Agen et de Bordeaux

ENQUÊTE SEMAINE 15

Chaque semaine, le Réseau des Nouvelles des Marchés réalise une enquête au stade détail dans un panel de 150 magasins représentatifs de la grande distribution française. La fraise figure parmi les produits enquêtés. En 2022, des informations spécifiques complémentaires ont été collectées dans ce panel* en semaine 15, du 11 au 15 avril (semaine précédant Pâques). Une enquête du même type avait déjà été réalisée certaines années passées, dont la précédente en 2021. Lors de cette enquête exhaustive, les prix de toutes les références présentes sur les étalages ont été collectés en fonction du mode de culture, de la variété, de l’origine et de l’emballage : au total, 610 relevés ont été effectués en magasins.

les 4 pages cerise

La cerise en 2024

Auteur : RNM - Centre de Lyon

Une production stable mais une offre commerciale limitée par les épisodes de pluies à répétition

Les premières prévisions annoncent une production en nette hausse, de 12 % sur un an (source Agreste, 15 mai 2024). Mais tout au long de la saison, des pluies régulières entrainent des pertes importantes, notamment par éclatement des fruits. Les variétés précoces sont les plus affectées. Le marché est compliqué avec une offre faible et de qualité aléatoire, ainsi qu’une consommation freinée par les conditions météorologiques et des prix élevés. La fin de campagne est accélérée par les pluies incessantes dans les régions du Sud. Les apports limités favorisent la hausse des prix. Les cours, nettement au-dessus de la moyenne quinquennale, masquent l’importance des pertes de récoltes pour les producteurs et du déficit de volumes commercialisés pour les expéditeurs.

les 4 pages chou-fleur

Le chou-fleur en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Brest

Une offre peu abondante, mais des cours soutenus

Après une campagne 2022-2023 rémunératrice, cette saison s’inscrit dans la continuité, malgré des disponibilités en baisse et de fortes disparités entre les bassins de production, en raison d’aléas météorologiques. Les demandes d’approvisionnement à l’exportation permettent de soutenir le prix expédition du chou-fleur dans un contexte d’offre européenne déficitaire.

les 4 pages echalote

L'échalote traditionnelle en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Brest

Une campagne de nouveau peu dynamique

Dans la continuité du millésime précédent, la récolte 2023 d’échalote traditionnelle, mieux approvisionnée, est commercialisée sur des bases peu rémunératrices en début de campagne, mais aussi peu évolutives : en cause, une demande atone et un poids plus marqué de l’échalote issue de semis, concurrente sur le marché. Plus que jamais, l’obtention de l’IGP « échalote de Bretagne » devient, pour l’ensemble de la filière, un enjeu pour le maintien et la protection de cette culture.

les 4 pages pomme-de-terre_conservation

La pomme de terre de conservation en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Lille

Une campagne rythmée par des conditions météorologiques très instables

Les conditions météorologiques sont déterminantes dès le début des plantations, pendant la levée des plants et au démarrage des travaux d’arrachage. Les besoins croissants des usines de transformation créent des tensions sur les surfaces d’autres segments de marché avec en parallèle le souci de l’équilibre de l’ensemble de la filière. La rémunération des opérateurs demeure une préoccupation majeure. Elle est étroitement liée à la hausse des coûts de production dépendants de plusieurs facteurs, tant d’ordre météorologique qu’énergétique. Simultanément, les acheteurs subissent une forte inflation. Dans ce contexte, le rapport offre/demande peine à trouver son équilibre.

les 4 pages asperge

L'asperge en 2024

Auteur : RNM - Centre de Bordeaux

La météo pluvieuse limite les volumes tout au long de la campagne

Les pluies abondantes du printemps 2024 perturbent fortement la saison de l’asperge. Certains producteurs prennent du retard dans le buttage des parcelles, l’eau stagnante ne permettant pas l’accès aux cultures. Les inondations locales ou simplement de trop grosses quantités d’eau tombées d’un coup ralentissent également la production et la récolte. La précocité des fêtes pascales engendre un déséquilibre entre l’offre et la demande ainsi que des cours élevés tout au long de la campagne.

les 4 pages salade_hiver

Les salades d'hiver en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre d'Avignon

Une demande insuffisante

La campagne démarre avec une production tardive (manque de luminosité, mauvaise expérience de la campagne précédente…) et un marché dynamique. Les cours sont rémunérateurs pour les acteurs de la filière amont. Puis la production progresse de manière significative mais la consommation ne permet pas d’absorber les volumes. La situation du marché se dégrade rapidement. Les cours diminuent de manière significative, ils passent au-dessous de la moyenne quinquennale à partir de la mi-janvier et lui restent inférieurs jusqu’à la fin de campagne.

les 4 pages endive

L'endive en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Lille

Des prix en forte hausse valorisent une production en net recul

La production d’endives, en diminution depuis plusieurs années, est particulièrement faible cette saison. La campagne est marquée par une gestion tendue des disponibilités, ce qui permet aux endiviers de bien valoriser leur production. Au stade de la vente au détail, les prix affichent une hausse moyenne de 35 % par rapport aux cinq dernières campagnes. Les conditions météorologiques sont souvent défavorables depuis la récolte des racines jusqu’aux semis pour la campagne suivante. Une part importante de racines de gros calibres engendre une production de grosses endives, peu appréciées du consommateur.

les 4 pages poireau

Le poireau en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Brest

Une campagne satisfaisante mais sans grand empressement de la demande

La campagne du poireau primeur débute par une fermeté des prix ; mais rapidement un fléchissement s’opère face à une demande timide. Sous l’effet d’une douceur météorologique chronique, le commerce peine à trouver un rythme d’activité en dehors des mises en avant dans la grande distribution. Un important cumul de précipitations perturbe les arrachages à partir de novembre, entraînant une faiblesse des disponibilités et un maintien des cours. Le marché national est irrégulier et manque de force commerciale. La fin de saison est correcte mais atypique : la demande décline mais reste en phase avec l’offre, compte tenu du développement végétatif des poireaux.

les 4 pages ail

L'ail en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Toulouse

Une campagne en demi-teinte

Après deux saisons compliquées, 2023 s’annonce sous de meilleurs auspices. En effet, les conditions météorologiques lors de la croissance sont considérées comme idéales. Mais, fin juin, lors de la récolte et du séchage, les orages viennent perturber le bon déroulement des opérations. Ces incidents influencent la qualité des aulx avec notamment une hétérogénéité de la coloration sur certains lots. Des tris sont mis en place afin de sélectionner les produits les plus à même de répondre aux exigences qualitatives des acheteurs. Ces divers événements ont un impact sur le démarrage de la campagne, qui se met en place de manière progressive et plus tard qu’habituellement. Malgré cela, la demande est attentiste et les ventes difficiles. Beaucoup de lots déclassés, notamment en ail blanc et en violet, ne trouvent pas preneur. Seuls les lots de qualité se négocient à des prix relativement similaires aux deux dernières années.

les 4 pages truffe

La truffe Tuber melanosporum en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre d'Avignon

Une campagne plutôt satisfaisante

Après une saison 2022-2023 très déficitaire, l’offre fait son retour sur les marchés de la truffe, avec cependant des volumes de production hétérogènes selon les territoires. Les cours sont dans l’ensemble relativement élevés : +30 % par rapport à la moyenne quinquennale olympique sur les marchés de Carpentras et Richerenches. La truffe française bénéficierait d’une concurrence espagnole moindre car touchée par la sécheresse et les restrictions d’arrosage.

les 4 pages noix

La noix en 2023-2024

Auteur : RNM - Centre de Lyon

Une récolte française en forte baisse et des prix peu rémunérateurs

Après une récolte française exceptionnelle en 2022, la production 2023 diminue de 37 % sur un an et de 21 % par rapport à la moyenne quinquennale. Les fortes chaleurs et les pluies en fin de cycle ont un effet défavorable pour la qualité du produit. D’importantes opérations de tri sont réalisées en stations d’expédition afin de présenter des lots qualitatifs à la vente. Dans un contexte économique peu favorable, la noix, considérée comme un produit non essentiel, reste délaissée par le consommateur. Devant ce manque d’engouement, les cours en début de campagne sont bas. Mais contrairement à l’année passée, l’offre réduite permet leur stabilisation durant toute la saison. Ils restent cependant inférieurs de 6 % à la moyenne quinquennale, laissant des prix peu rémunérateurs pour la filière nucicole.

les 4 pages prune

La prune en 2023

Auteur : RNM - Centre de Toulouse

Malgré une commercialisation compliquée, la prune retrouve des couleurs et une fin de campagne plus fluide

Les difficultés de commercialisation conduisent la prune à une situation de crise conjoncturelle du 2 août au 29 septembre, selon l’article L611-4 du code rural et de la pêche maritime. Seules des opérations de promotion ou de mises en avant permettent de dynamiser les transactions et ainsi d’écouler des volumes. Il est à noter que la révision de l’indicateur de marché du 4 juillet 2023 modifie le seuil de prix anormalement bas (par rapport à la moyenne quinquennale) de -25 à -15 %. La situation de crise conjoncturelle ne peut donc pas être directement comparée à celles des années précédentes. Cependant, en 2023, l’indicateur connait, pendant plusieurs jours de crise, un taux en dessous des -25 %, ce qui montre l’ampleur des difficultés traversées par la prune. La fin de la période de commercialisation, notamment en octobre, est heureusement beaucoup plus dynamique grâce à une demande plus réceptive.

les 4 pages chataigne

La châtaigne et le marron en 2023

Auteur : RNM - Centre de Lyon

Fort impact climatique sur la récolte et la conservation de la châtaigne

Malgré les craintes liées à un été sec et caniculaire, les épisodes de pluies survenus fin août et début septembre sont globalement salvateurs pour les châtaigniers. La production est proche de la moyenne quinquennale. Cependant, les températures chaudes en début d’automne génèrent des taux de pourritures importants ; la récolte est perturbée par des pluies répétées et une partie des châtaignes n’est pas ramassée. Les températures élevées freinent les ventes durant la majorité de la campagne. Les coûts de stockage sont parfois trop importants pour une qualité moindre et certains expéditeurs sont contraints de brader la production auprès des transformateurs. D’autres opèrent de grosses opérations de tri et parviennent à mieux valoriser leurs produits, mais les cours augmentent seulement en fin de campagne.

les 4 pages artichaut

L'artichaut en 2023

Auteur : RNM - Centre de Brest

Une campagne calamiteuse

Après une saison 2022 très difficile en raison de la sécheresse, la culture de l’artichaut rencontre des situations de marché compliquées en 2023. Des récoltes précoces et abondantes au printemps pénalisent la valorisation des charnus. Plus que jamais, la filière fragilisée se remet en question pour limiter son déclin.